Service de "drive" avec le logiciel Seafile
I - Généralités, principes et définition des usages
- Il s'agit d'une solution de drive, comparable
- aux services commerciaux Dropbox, Google Drive, OneDrive
- aux solutions libres mises en oeuvre dans la communauté, comme NextCloud (Université Paris-Cité) ou OwnCloud (MyCORE du CNRS).
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C'est un service qui permet
- de synchroniser des dossiers entre plusieurs ordinateurs, avec une synchronisation au fil de l'eau à chaque modification de ces dossiers
- de partager l'accès à ces dossiers avec d'autres personnes (internes ou externes à l'Institut), via une interface Web, en ayant toute liberté pour finement définir ces partages
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A la différence d'un service passe-plat Web comme FileSender de RENATER,
ce service propose
- un stockage permanent
- des URL de partage permanentes
- une synchronisation au fil de l'eau d'un dossier (bibliothèque en langage Seafile)
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Ce service est complémentaire du stockage centralisé et sécurisé (ex-Compellent).
Ce dernier est dédié aux données scientifiques volumineuses et pérennes et doit être utilisé en priorité.
Il est rappelé qu'une interface Web en lecture peut être très facilement mise en oeuvre sur le stockage centralisé et sécurisé.
Il est instamment demandé de ne pas dupliquer les mêmes fichiers entre les deux solutions de stockage.
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Ce service est typiquement dédié aux données personnelles au sens large, stockées dans Mes documents sur Windows, Documents sur MacOS et
Linux.
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Ce service est prévu pour les usages suivants :
- avoir une autre copie de ses données à l'extérieur de son ordinateur : protection des données
- avoir un accès Web et une synchronisation de ces données depuis un autre ordinateur ou mobile : accès distant aux données
- partage des données au sein d'un groupe de manière simple par une interface Web : travail collaboratif
- accès donné à des personnes extérieures à l'Institut à des fichiers ou dossiers : passe-plat avec l'extérieur.
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Le service est conçu pour que chaque fichier existe au moins 2 fois :
- au moins 1 fois sur l'ordinateur de départ
- 1 fois sur le serveur
- éventuellement d'autres fois encore sur d'autres ordinateurs qui synchronisent les bibliothèques
Le service n'est donc PAS sécurisé ou sauvegardé : il est considéré comme NON critique,
car il doit toujours y avoir au moins 1 copie sur un ordinateur individuel.
II - Usages individuels
- Prise en mains du compte IJM (annuaire LDAP) : pour le tout premier usage, chacun lit et suit ceci.
Bien noter que le login est l'identifiant LDAP (de la forme jmarchand), et PAS l'adresse mail.
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Choix d'un PETIT dossier de test (de 1 à 10 Go)
La taille d'un dossier se lit par par clic-droit > Propriétés
- Ensuite, chacun peut faire ses premiers essais sur https://seafile.ijm.fr :
- familiarisation avec l'interface Web
- glisser-déposer de fichiers depuis son ordinateur ; téléchargement depuis le site Web vers son ordinateur
- installation sur son ordinateur de l'application Desktop Syncing client via ce lien
- mise en place d'une synchronisation du dossier de test entre son ordinateur avec le serveur
pour cela ; renseigner comme nom de serveur https://seafile.ijm.fr et donner son identifiant et mot de passe LDAP
- observation de la synchronisation depuis l'application sur son ordinateur, et du temps mis pour cette première synchronisation
- observation sur le site Web https://seafile.ijm.fr que l'on retrouve bien son dossier
- observation de ce qui se passe lorsqu'on modifie le dossier d'un des deux cotés (sur l'ordinateur ou via l'interface Web)
- utilisation depuis un autre ordinateur (typiquement depuis son domicile)
- par l'interface Web, mise en place d'un partage sur un fichier ou un dossier ; accès par le Web sur l'URL ainsi obtenue
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Une fois seulement après s'être bien familiarisé avec l'outil comme indiqué ci-dessus, chacun
- peut réfléchir aux dossiers qu'il souhaite synchroniser depuis son ordinateur individuel,
- ceci comparativement à ce qui a été ou peut être stocké sur le stockage centralisé et sécurisé
- regarde la taille de ces dossiers (par clic-droit > Propriétés)
En fonction de la taille, il est important de bien réfléchir au temps qui sera nécessaire pour la première synchronisation,
après avoir observé le temps mis sur le petit dossier de test (de 1 à 10 Go).
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Un volume total de plusieurs centaines de Giga-octets est accepté.
Mais il est obligatoire de prendre contact avec le service informatique pour un volume supérieur à 100 Giga-octets.
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Nous n'avons pas encore de recul avec l'autre application Desktop Drive Client qui permet de voir l'espace sur Seafile comme un disque local.
III - Usages au sein d'un groupe
- Un membre de l'équipe définit une bibliothèque qui sera l'espace commun et partage cette bibliothèque aux autres personnes via l'interface Web.
Il est nécessaire que chaque personne se soit connectée au moins une fois sur l'interface Web, pour qu'il soit possible de partager une bibliothèque avec elle.
IV - Synchronisation des horloges
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Pour le bon fonctionnement d'un tel service, il est bien de vérifier que les ordinateurs clients du service sont à la bonne heure,
c'est-à-dire synchronisés sur un serveur de temps par le protocole NTP.
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Quand on est connecté à l'Institut Jacques Monod, on ne peut pas accéder aux serveurs NTP prédéfinis dans les systèmes Windows, MacOS ou Linux.
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Il convient donc d'utiliser le serveur NTP ntp.ijm.univ-paris-diderot.priv, comme expliqué sur cette page.